Me voilà, au mois de janvier, lancée pour un mois dans l’écriture de la vie de Joséphine Baker. Il m’est arrivé quelque chose de surprenant : j’ai commencé mon texte à la première personne – comme pour mon Léonard de Vinci – et je me suis très vite trouvée empêchée. Dès que j’ai tout modifié et passé le texte à la troisième personne, ma plume s’est envolée comme par miracle ! Allez comprendre…